En écrivant mon roman "La légende de Little Eagle", qui raconte la vie et la mort d'un jeune pilote américain de P-51, j'avais découvert une chanteuse: Vera Lynn, grande vedette de variétés à cette époque en Grande-Bretagne, et une de ses chansons que je trouve approprié de mentionner à l'occasion de la Saint-Valentin. Cette chanson, "We'll meet again" / "Nous nous retrouverons" était aussi populaire et célèbre que la fameuse "Lily Marlene", de Marlene Dietrich. Elle parle justement de l'absence, de la séparation, et de l'espoir des retrouvailles. "Je ne sais pas où, je ne sais pas quand, mais nous nous retrouverons pas un jour ensoleillé". Je vous invite à découvrir cette chanson émouvante, illustrée d'images de l'époque: http://www.florianrochat.com/liens.htm
39-45: quand la Saint-Valentin était triste
Florian Rochat- Interessé
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39-45: quand la Saint-Valentin était triste
En écrivant mon roman "La légende de Little Eagle", qui raconte la vie et la mort d'un jeune pilote américain de P-51, j'avais découvert une chanteuse: Vera Lynn, grande vedette de variétés à cette époque en Grande-Bretagne, et une de ses chansons que je trouve approprié de mentionner à l'occasion de la Saint-Valentin. Cette chanson, "We'll meet again" / "Nous nous retrouverons" était aussi populaire et célèbre que la fameuse "Lily Marlene", de Marlene Dietrich. Elle parle justement de l'absence, de la séparation, et de l'espoir des retrouvailles. "Je ne sais pas où, je ne sais pas quand, mais nous nous retrouverons pas un jour ensoleillé". Je vous invite à découvrir cette chanson émouvante, illustrée d'images de l'époque: http://www.florianrochat.com/liens.htm