Histoir vrais, je le rappelle !
31 septembre 2000
L'avion appartient à la présidence du Togo. Il est immatriculé 5V TAG. C'est un 707-312B en version VIP avec chambre a couché, cuisine, salle de reunion,... l'appareil a une trentaine d'année mais est en excellent état. Ce soir là il y a un dizaine de passagé à son bord. L'avion à décollé à 17 heures TU d'orly avec 13 tonnes de fret pour le prochain sommet de l'OUA de lomé.
Il est maintenant 21h25, niveau de vol 350 (35000 pieds 11500 metre), météo excellente, il reste 200 nautique pour arrivé a lomé vers 23h.
Soudain la port du poste de pilotage s'ouvre...c'est l'un des 2 mécanicien. L'homme est inquiet
-"Commandant.. il y a de la fumée dans la chambre du président"
La fummée dans un avion n'est jamais bon signe
-"C'est important?" demande le commandant
-"Comme un cigare"
-"Je vais voir."
Le commandant prend un extincteur et se rend en cabine. Dés qu'il entre, il comprend que c'est encore plus grave qu'il ne le pensait. La fummée est bien visible et un odeur âcre pique les yeux. La fumée sort par la bouche de climatisation "On a quelque chose qui brule en soute avant" murmure le commandant. Quoi qui'il en soit, il faut faire vite.
-"Vous condamnée les porte pour éviter un appel d'air" ordonne le commandant
Puis il retourne au poste, quand il entre le co-pilote lui dit "On a quelque problemes". En effet sur le tableau de bord un alarme c'est déclenchée : "feu sur le train avant", Puis une seconde s'allume "feu moteur n°1", puis une autre encore "feu moteur n°2",... En fait les alarmes se succédent pour signaler des incendies sur les 4 moteurs, probablement des court-circuits, mais on ne peut en étre sur! Le commandant décide de se dérouter sur Niamey
-"tu appelle la tour" dit t'il à sont co-pilote
Le copilote passe sur 119.7
-"Mayday...Mayday...Mayday"
Au sol le controleur réagit immediatement
-"Reçu,Alpha Golf ... Je vous laisse la piste allumée et je previens les équipes d'urgences"
Au méme moment, un commandant d'airbus A310 dit "On va aussi prévenir les pompier, car les moyen de l'aéroport sont limité!"
Les minute passe, dans le 707 la situation s'agrave rapidement. La fumée commence à envahir le cock-pit. Les gorges devienent douloureuse. Il faut mettre les masques et les lunettes anti-fumée. Personne ne panique mais la peur commence à nouer les estomacs. Le feu à bord d'un avion est terrible.
-"On voit plus rien" dit le co-pilote. En effet la fumée est si noir que l'on distingue à peine le tableau de bord. Puis brusquement les lumiéres s'eteignent dans le cockpit. Plus rien ...
-"On vient de perdre les 4 génératrices" s'exclame le commandant
A cet instant, le 707 est en panne éléctrique totale. Seule la batterie de secours marche encore, mais cela ne va pas durée. Il n'y a plus de radio, plus d'instrument de radio-nav, plus de lumiere, le PA (pilote auto pour ceux qui savent pas ) c'est déconnecter. Plus rien ne fonctionne à part l'horizon artificiel de secours! mais avec la fumée personne ne peut le voir. La situation est dramatique. La fumée s'épaissit à chaque seconde. Dehors c'est la nuit. Pas la moindre référence lumineuse pour stabiliser l'avion en descente. Le par-brise ce noircit avec la fumée, l'equipage est à l'interieure d'une locomotive des année 1900
-"Je voit pas l'horizon de secours" se plaint le commandant
Impossible de piloté dan ces condition, il sont fichus! Par chance à cet instant une lampe torche déchire l'obscurité. C'est le mécano qui viens de récuperer la lampe à l'arriere du cockpit. Piétre remède. Le commandant doit ce collé à 20 centimetre de l'instrument pour pouvoir le voir! Il réalise que l'avion est en position inusuelle. le nez est trés bas, les ailes inclinées à 40 degres. LA vitesse et l'altitude? aucune idée! Le commandanr stabilise l'avion, mais il n'a pas le temps de souffler... Le moteur 1 s'éteint, puis c'est le 3 qui lache. De plus les hommes ne peuvent méme plus communiqué ensemble, avec les masque sans intercom, les mots ne sont que grognements.
Il tente un redemarage du 3, il repart mais s'éteint tous de suite, seconde tentative, cette fois c'est bon. Il faut relancer le 1 maintenant, mais c'est trops tard la batterie de secours viens de rendre l'ames, les robinets de carburant et les ignitions sont alimentée par la batterie. Le réacteur ne pourras plus étre redémarré.L'incendit dans la soute à provoqué plusieur court-circuit, il n'y plus assez de courant dans le 707 pour alimenter un rasoir électrique. Puis c'est le coup de grace! L'air n'arrive plus dans les masque! Les 3 homme etouffent... les tuyaux d'alimentation on fondu dans la soute. Les navigants arrachent leurs masques mais il aspire un grande goulé de fumée toxique.
-"Ouvre la fénetre" hurle le commandant "vite..."
Mais il ce dit quelle ne va pas s'ouvrire à cause car l'appareil n'est pas dépressurisé! En réalité la pressurisation du 707 n'est qu'un lointain souvenir. l'incendit est si violent que la soute avant à un trous de plus d'1 metre carré. La fenetre s'ouvre donc sans probleme. A cet instant pour le pilote la seule possibilité pour trouver des réference visuelle et de mettre la téte dehors. A plus e 600km/h, il s'attend à un véritable tornade. Ce sera terrible, pourra t'il garder les yeux ouverts? Au moment ou il passe le téte dehors, la surprise est énorme....c'est le silence, pas un souffle, il peut réspirer normalement et dans le lointain à gauche il peut voir les lumiere de Niamey, virage 20° à gauche, le moral remonte un peu. De son coté le copilote a moins de chance... Il n'a pas eu le temps d'ouvrire sa fenetre. Dans l'obscurité du cockpit, sans oxygéne, il est inconscient.
Le commandant estime qu'il se trouve à environs 50 nautique de la ville, et qu'il est entre 8000 et 12000 ft.Sa vitesse doit étre de 280-320 kt. Agrippé au manche...la téte dehors, il tente de faire le point sur la situation. Il n'y a plus de courant, vole sur 3 moteur. Au niveau des commande c'est la catastrophe, plus moyen de bouger le compensateur de profondeur en manuelle...Plus de spoilers (aéro freins)...Plus de radio, plus de VOR, plus d'ILS. Pas d'indication de vitesse. Plus d'altimetre. et l'incendie dans la soute gagne de plus en plus d'ampleur...
Chaque seconde est vitale, cela fait 25 minute que l'avion brule. Heureusement il connait bien l'aéroport de Niamey. En gardant cap au sud, il va pouvoirs s'aligner à vue sur la piste 09. En tâtonnant il trouve la commande des volets, miracle sa marche, il les sort jusqu'a 14°. Puis il cherche le train, il trouve le levier...miracle encore sa descent. Les roue doivent étre verrouiller... Un virage de 90° à gauche au dessu du fleuve niger et la piste 09 est juste en face de lui, vitesse estimé 220 kt. Encore une fois la mains cherche la commende des volet. 40 degrés... la téte toujours dehors, il reprend espoire. Son plan de descente est bon. Cette piste il va l'avoir! il va trops vite, mais bon ... A mesure que la piste ce rapproche, le boeing devient problématique, les commande durcissent, les muscles deviennent douloureux.
La courte final arrive, à cet instant, le commandant fait ce qu'il considérera lui méme comme une éreur. Il met 50° de volet. le boeing décroche aussitot. Les balise lumineuse passe à l'horizontale, il est au ras du sol. Il va toucher... il tire sur le manche mais celuis ci est deja en buté arriere. Dans un ultime geste, il envois les moteur à fond, il gagne ainsi quelque metre, juste de quoi arrivé sur la piste. Il est 21h50, la vitesse est de 180kt, le choc est violent, le 707 rebondit, l'avion part sur la droite, la machine devient incontrolable, il lache tous, il ne cherche méme pas à freiner, utiliser les reverses,... Le boeing quitte la piste. Le train droit plonge dans un fossé de drainage, la roulette de nez pulverise les balise lumineuses. L'avion traverse le taxiway, le train avant s'arrache et recule de 7metre. Les roue se retrouve par desu l'aile gauche. les moteur 3 et 4 sont arraché. Puis l'appareil part en cheval de bois et s'arrete. C'est alors l'evacuation génrale, le commandant sort par la fenetre latérale du poste de pilotage, le cockpit est au ras du sol mais dans l'obscurité, le commandant ne le sait pas, il reste donc suspendu par une main au rebord. Il hésite à lacher de peur de faire une chute de 7 metres. Soudain il entend un pompier qui lui parle à 1 metres.
-"Tu devrais pas rester là, patron, ça va exploser!"
Il réalise que ces pieds sont à 10 cm du sol !
Tous le monde est sain est sauf, l'avion brulera toute la nuit.
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