Flyerinjoker Jeu 21 Fév 2008 - 14:09
phantom a écrit:Dans tous les cas le mythe de croire qu'on va poser plus court et surtout plus précis avec cette méthode, ben c'est faux. Dans la plupart des cas, à part taper fort sur le train c'est tout ce qu'on arrive à faire.
Alors je suis désolé mais quand tu regardes les championnats d'atterrissages de précisions tu vois bien que les avions approchent à beaucoup moins que 1.3Vs. en effet certain sont arrivés même a casser le train de leur cessna (et pourtant dieu sait que c'est solide !!!!) je fais allusion à un hollandais ou finlandais (je ne me rappel plus très bien) qui a cassé son train principal lors d'un atterrissage de précision lors d'un championnat d'Europe ou du monde (vue dans un article de aviation et pilote OU info pilote il y a un petit moment)
Ensuite dans mon avion j’arrive parfaitement à faire des atterrissages comme sa, j'approche a 105km/h sachant qu'il décroche à 90km/h je suis donc à 1.15Vs et je fini (en général) pas toujours par un kiss-landing puis sinon par un atterrissage très convenable... le tout, évidement c’est de ne pas avoir une panne moteur en courte finale car là sa risque vraiment de mal se finir…
Lorsque tu parles des pilotes de montagne (j'en ai une petite expérience j'ai une qualif de site dans les Pyrénées), en effet il vaut mieux approcher à 1.3Vs car il y a souvent une petite brise de vent et il vaut mieux ne pas approcher top lent (cause le gradient du vent).
Ensuite merci Jihef pour la précision, il est vrai que je ne connais pas la définition exact d'une approche de précaution, je me suis rapporté comme toujours aux dire de mon père (qui est aussi mon instructeur). J’attends impatiemment la suite pour vraiment connaitre cette définition dans les différents cas, puis également pour comparer avec ce que jusque là j'appelais une approche de précaution