« le dossier béton » qu’il faut monter, ça se résume en deux feuilles d’inscription où on a la lourde tâche d’écrire ses coordonnées dessus, quelques caractéristiques demandées de son avion, le nom de son assurance et faire signer tout ça par le président de l’aéroclub puis de le renvoyer avec un chèque… :?
Il n’y a pas de réussite ou non à la théorie qui permet de faire les tests en vol : sur mes sélections, on avait d’ailleurs fait cette épreuve en dernier… :? Donc on a commencé par la navigation, puis les tours de piste et pour clôturer, la théorie… La théorie n’est aucunement et à aucun moment éliminatoire ! La seule épreuve qui l’est (et encore, il faut avoir 0 point…) c’est la navigation.
On a largement vu que les ATPL ne réussissaient pas mieux que les simples PPL. La preuve : ils n’avaient un classement que très moyen ! Dans le cas précis, ça ne leur sert à rein de connaître tout le fonctionnement d’un réacteur ou d’un cockpit airbus ! Et ils n’ont souvent pas jugé nécessaire de relire leurs cours PPL…
Aucun responsable quelconque ne se montre si ce n’est éventuellement quelques galonnés militarisés… et encore, ce ne sont pas des recruteurs…
Pour le CV, c’est un gage de motivation du candidat mais ça s’arrête là… Le classement, ils ne le regarderont même pas ! Et tous ceux qui ont fait le tour ne réussiront pas forcément ; ceux qui ne l’ont pas fait n’échoueront pas obligatoirement non plus…
Le « prix » du premier est un stage voltige…
Pour en revenir sur les compagnies franco-françaises, je rejoins totalement zoub et JuienR : ne compter que sur AF et ses filiales, ça restreint…
Happy landing
ML