Le saut devait être fait au-dessus de la Plaine de Crau, en France, mais la France a refusé la réalisation du Grand Saut sur son territoire.
Aujourd’hui le projet est transféré à Saskatchewan au Canada.
En septembre 2002, deux tentatives ont été avortées à cause de problèmes techniques (conditions météo défavorables -jets streams trop fort- et sur le ballon lors du gonflage).
En août 2003, Michel Fournier avait tenté un troisième saut (à 38000 mètres) au Canada, mais le ballon s’était déchiré lors du décollage, forçant Michel à abandonner dans sa tentative.
c'est quand même un grand défi où l'on a besoin de l'aide de personnes pour le réussir
En 1986, Michel Fournier avait émit l’idée d’un saut de "seulement" 38000 mètres et avait obtenu l’accord et le soutient technique et financier de l’armée française et CNES. Mais en 1988, le retrait du soutien du ministère de la défense avait obligé Fournier à quitter l’armée et à reprendre le projet à titre privé.
C’est pourquoi, il modifia quelque peu l’idée initiale, portant le saut à 40000 mètres. La différence entre les deux sauts est plus personnelle que technique. En effet l’équipement est quasi identique.
André Turcat, 1er pilote du Concorde en autre, est considérer, par Michel, comme le premier des plus fidèles soutiens.
Jean-François Clervoy, un astronaute français de l’ASA (Agence Spatiale Européenne) parraine le projet.
Pour le soutien médical du projet, c’est une équipe de "maître" en la matière : professeur Paul Vanuxem, médecin général Jacques Bittel, médecin chef Gustave Savourey, professeur Sainty, docteur Eric Bergmann, Bernard Redortier, professeur Jean-Pierre Crance.
Pour chacun des équipements (ballon, nacelle, parachutes, combinaison stratosphérique, casque, gants), ils sont le fruit de longues années de recherche et de prouesses techniques pour résister à des conditions extrêmes (courants aériens, rayonnements cosmiques, pression dynamique et très basses températures).
Pour le soutien financier, on pourrait croire en lisant la liste qu’il ne manque de sponsors et pourtant…
Pour n’en citer que quelques uns (la liste est trop longue) :
Nikon, Peg-Trispace, Pronor, Pyroalliance, Rostaing, Systeme Vetement, Tararienne de Rasage, Aéroconseil, Air Ballon Communication, Atelier d’Apprentissage de la Giraudière, Centre de Recherche du Service Santé des Armées. Unité de Thermophysiologie, CHR Hôpital Salvador, Service de Réanimation Médicale et Hypobarie, Doremi Labs, Elta, Hôtel-Restaurant Champs Fleuri, Iesm, Iftf Lyon, JGA, Matisec, Mci, Parachute Shop, Comex, Uimm, La Cité de l’Espace, Alain Afflelou, Capucine Film, Saft, Horus, Falgayras, Iec-Asv, Francital, Certex, Fastrax, Sertel, etc.